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RÉALISER SON RÊVE D’ENFANT

Oser être soi-même, oser partager ses faiblesses, oser faire une place à son enfant intérieur pour apporter le meilleur à l’extérieur, oser mixer sensibilité et puissance.

 

 

Retrouvez cette vidéo ici sur YouTube et de nombreuses autres sur notre chaîne.

 

J’étais un enfant gentil, timide, dans mon monde en fait… porté un peu sur le spirituel, paranormal, les ovnis.

 

J’avais une petite bande de copains, mais voilà, pas très expansif.

 

Mais j’aimais bien cette insouciance de l’enfance, ce bac à sable, le lien avec les autres, des habits simples, parfois un peu loufoques mais vraiment un côté se laisser porter au gré du vent.

 

Ton rêve d’enfant ? @0’27

De découvrir l’invisible un peu, tout en apportant quelque chose au monde.

 

J’étudiais un peu les voix des morts en fait, puisque je regardais beaucoup les émissions « Mystère » à l’époque.

Donc la vie après la mort, ça m’intriguait, les voix qu’on pouvait laisser sur magnétophone d’un défunt.

 

Je sais pas, j’avais ce contact avec un peu déjà l’au-delà. C’est peut-être ce contact avec l’au-delà qui m’intéressait.

 

Et puis il y avait ce rapport aux ovnis aussi, peut-être de découvrir d’autres mondes, qui étaient au-delà de la Terre.

 

Ton meilleur souvenir en famille ? @1’02

Moi, c’est peut-être des vacances simples en Normandie ou l’été, en famille et au-delà de mes parents, ce côté vacances intergénérationnelles avec les grands-parents, les oncles.

 

J’aimais bien cette vie commune, un petit peu en communauté, en famille en fait, assez proches, soudés.

 

Des difficultés dans ta jeunesse ? @1’31

J’ai eu une période difficile dans mes études.

 

Notamment, j’ai redoublé ma seconde.

Ça a été un moment difficile parce que j’avais l’impression d’être dans un autre monde.

J’étais intéressé peut-être par d’autres choses que des matières classiques.

Et du coup, je rêvassais beaucoup et j’ai redoublé ma seconde.

 

Et un peu plus tard, j’ai failli louper mon école d’ingénieur parce que j’étais pas assez solide.

Y a plein d’enfants qui sont pas assez solides. Et pour moi, on peut pas apprendre dans des conditions comme ça.

En tout cas, on peut pas être serein.

 

Et aujourd’hui justement, c’est peut-être ce qui fait qu’on a créé Lumerys aussi.

C’est se dire qu’on peut réussir des choses dans la bienveillance.

On peut être féroce aussi, mais dans la bienveillance quand même. Et c’est ce mix entre les deux. Voilà.

 

Un évènement qui a changé ta vie ? @2’19

Je vais en citer plusieurs.

 

Plus jeune, il y a eu le tennis.

De démarrer le tennis, ça m’a aidé à jouer avec beaucoup d’adultes et ça m’a fait grandir, je pense.

J’étais peut-être un peu moins mature que les autres en tant qu’enfant, très rêveur.

Et le tennis m’a permis de grandir très vite, de jouer avec beaucoup d’adultes, de jouer avec beaucoup de personnes différentes, d’oser organiser des choses.

Et l’esprit de compétition, finalement, m’a aidé à me dépasser.

 

Et puis plus tard dans ma vie, comme tout le monde, j’ai eu quelques soucis et des grosses épreuves.

Et il y a une épreuve qui m’a permis de démarrer le développement personnel avec une coach.

Et je crois que ça a été le début pour moi d’une ouverture incroyable, ce qui venait compléter une partie spirituelle de mon éducation que m’avaient donné mes parents.

 

Et ce développement personnel a ouvert des portes et continue à en ouvrir jusqu’à aujourd’hui.

J’ai jamais arrêté, quasiment, depuis plus de 15 ans maintenant.

 

Et sans cette grosse faille dans ma vie, j’aurais jamais été voir quelqu’un, j’aurais jamais démarré ça.

Et je crois que ça m’a ouvert toutes les portes jusqu’à Lumerys aujourd’hui.

 

As-tu déjà été au bord du gouffre ? @3’27

Le bord du gouffre, c’est quand à la maison, ça va pas. C’est quand au boulot, ça va pas et qu’au final, les situations sont très tendues de chaque côté.

 

C’est quand on vit une période très intense, qu’on dort très peu la nuit et qu’à un moment donné, on arrive à se dire « Si la vie s’arrête, c’est pas grave ».

 

Comment es-tu devenu toi ? @3’54

Si j’en suis là aujourd’hui, je pense que c’est grâce à mes parents déjà parce qu’ils m’ont donné une grande stabilité.

J’ai été assez protégé.

 

Du coup, c’est ce qui m’a peut-être rendu la tâche difficile parce que du coup, j’étais un peu timide.

 

Mais en même temps, j’ai eu des bases très solides en fait, une détermination, une patience, un courage.

 

Alors, peut-être que c’est le courage de Jésus parce que j’ai eu une culture, une éducation plutôt chrétienne catholique.

 

J’étais assez résistant. Y a un boss qui m’a dit maintenant il y a quelques années, qui m’avait dit « Seb, il résiste à l’acide ».

Et c’est vrai.

 

Mais voilà, je crois que j’en ai souffert parce que à un moment donné, on n’a plus envie de résister à l’acide.

 

On a juste envie qu’il n’y ait plus d’acide, en fait, tout simplement.

 

Que trouves-tu injuste ? @4’52

On peut pas juger de la justice ou de la non-justice à court terme.

Il n’y a qu’à long terme qu’on voit les effets de quelque chose.

 

Et parfois, il faut passer par des chemins difficiles et des tempêtes.

 

Donc qu’est-ce que la justice ? Je sais pas mais…

 

Peut-être qu’une des deux causes qui me touchent, c’est peut-être le fait que l’on soit dans des vies assez modernes, assez riches finalement, et que dans certains pays, on peut même pas boire de l’eau.

Parfois, ça me révolte de me dire « Qu’est-ce que je fais par rapport à ça ? Et pourquoi moi, j’y ai le droit et pourquoi pas eux ? Et pourquoi moi, je vis ma petite vie au quotidien sans trop me poser de question et pourquoi pas eux ? ».

 

Et après, par rapport au sort des animaux aussi.

Je trouve qu’on tue des animaux sous prétexte qu’on est des Hommes et qu’on a le pouvoir en ce moment.

Peut-être que plus tard, on l’aura plus.

 

Et qu’on détruit la planète juste pour faire de la croissance ou de l’argent.

Ça n’a aucun sens en fait. Donc je trouve ça injuste.

 

Un texte qui t’inspire ? @6’02

Y en a beaucoup.

 

Y a déjà une phrase de Mère Teresa avec notamment le Père jésuite à qui elle dit « Mais comment on trouve sa vocation ?« .

Et il lui répond : « On trouve sa vocation dans la joie ».

 

Je crois qu’on se rend compte aujourd’hui que si on n’avance pas avec son cœur, on n’est pas à la bonne place.

 

Après, bien sûr y a la Bible, etc. Y a tout un tas de documents religieux, mais peut-être plus initiatique encore :

 

Ces livres sont juste incroyables parce qu’ils nous parlent avec le cœur comme si on était dans la 8ème dimension et on arrive à lire entre les lignes grâce à eux, ce qui est plus difficile dans d’autres ouvrages peut-être spirituels.

 

Et tous ces textes me parlent en fait parce qu’ils me poussent à vibrer à l’intérieur et pas à chercher à briller à l’extérieur.

 

Qu’est-ce qui t’anime ? @7’13

J’ai envie d’aider chacun en fait à être lui-même et à apporter sa petite pierre au monde, c’est-à-dire être lui-même pour aider les autres.

 

J’ai envie d’aider chacun à prendre confiance, à avoir la foi en lui et vraiment à utiliser ses talents pour aider le monde parce que aujourd’hui, seul on ne peut rien. À plusieurs, on peut beaucoup, et on a besoin de plus d’harmonie dans le monde.

 

Et c’est parce que chacun exprimera son vrai talent, sans penser à lui mais en pensant au monde, qu’on arrivera à changer les choses.

 

Un message pour l’enfant que tu étais ? @7’50

J’ai envie de lui dire « Merci de m’avoir mis sur ce chemin de l’amour, du spirituel, de l’invisible et de croire qu’on peut réussir à aider le monde ».

 

Qu’est-ce qui te fait avancer ? @8’15

Je sens que je peux m’abandonner, que même si y a des difficultés, même si je doute aussi parfois, je sais que je suis poussé dans le dos depuis tout petit. Et ça me porte.

 

J’avoue ne plus savoir parfois où je vais, même si dans mon cœur, je sais que la réponse, elle est là et que j’ai qu’à suivre en fait.

Ton supplément d’âme ? @8’41

Je pense que mon supplément d’âme, celui qui se développe de plus en plus en tout cas, c’est :

 

Et je comprends parce qu’il y a eu des choses, par le passé, qui ont été difficiles. Je parle au 16ème, au 17ème, etc.

 

Ouais, c’est peut-être de vraiment retrouver son intérieur, son enfant intérieur. Je crois que moi, c’est ça qui me plaît.

 

C’est de se dire « C’est quoi, mon enfant intérieur ? En tant qu’enfant, je rêvais de quoi ? Qu’est-ce qui faisait briller des choses dans mes yeux ? ».

Et étant adulte, d’essayer de retrouver ça et de l’accomplir.

 

Qu’est-ce qui te fait vibrer ? @9’49

Au plus profond, ce qui vibre pour moi, c’est la planète au sens large.

C’est les animaux, les arbres, la végétation.

C’est vraiment de préserver la nature en fait.

 

Je crois que c’est ça qui m’anime le plus. Et les Hommes sont un chemin pour ça, mais plus globalement, je crois que c’est la planète qui m’anime.

 

Qu’aimerais-tu dire à tes parents ? @10’12

Je leur dirais « Merci de m’avoir montré le chemin de l’amour ».

 

Qu’aimerais-tu dire à ton fils ? @10’19

Je lui dirais « Écoute ton cœur et fais briller ton petit soleil intérieur ».

 

Qu’est-ce qui te rendra fier ? @10’30

Je serai fier de moi si j’ai accompli ma mission jusqu’au bout et que des personnes, des animaux ou autres ont pu peut-être avoir une meilleure vie grâce au moi.

Ta mission de vie ? @10’51

C’est d’apporter du bonheur ou une forme de joie, ou d’aider les gens à retrouver leur voie, leur voie intérieure parce qu’ils sont à la bonne place, parce qu’ils ont eux-mêmes accompli des choses.

C’est d’avoir réveillé leur voie intérieure.

 

Une pensée pour quelqu’un ? @11’13

Sœur Emmanuelle, l’abbé Pierre, Mère Teresa.

 

C’est très connoté sur la religion mais c’est des personnes qui m’ont beaucoup inspiré parce qu’elles ont donné leur vie en fait.

Elles ont eu une mission.

Elles ont donné leur vie.

Elles se sont pris beaucoup de tempêtes.

Elles y sont allées.

Elles n’ont pas jugé.

Elles ont souvent travaillé aux côtés des plus démunis et… ouais, c’est les personnes qui m’ont nourri en fait dans mon enfance.

 

C’est quoi, le bonheur ? @11’45

Pour moi, le bonheur, c’est quand je suis connecté à quelque chose qui est plus grand que moi.

C’est bizarre de dire ça mais c’est quand je ne pense plus à moi. C’est quand je dépasse ça, en fait… le VRAI bonheur.

 

Et puis y a quand je suis avec mon fils mais ça, c’est autre chose.

 

Un mot de conclusion ? @12’07

Votre mission, c’est votre mission si vous la sentez dans votre cœur.

Allez-y, foncez.

N’attendez pas le beau temps. Il y aura des tempêtes aussi.

Mais foncez, continuez. Apportez au monde.

Et si ça vous apporte de la joie, vous êtes sur le bon chemin.

 

 


 

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