A l’occasion de la soirée des 10 ans de Lumerys, nous avons eu l’immense plaisir d’interviewer Didier Van Cauwelaert. Dans cet extrait, il nous parle de la tunique de Guadalupe, un miracle fascinant qui continue d’intriguer le monde entier.
Nous voulions terminer ce bref tour d’horizon des miracles que vous décrivez dans votre livre par le miracle de Guadalupe, de cette tunique de de Guadalupe qui nous amènera peut-être à conclure avec une avec une musique.
Là on est, non pas dans un personnage miraculeux ou un phénomène de guérison. On est sur un objet impossible et miraculeux. Et historiquement suivi, scientifiquement prouvé dans tous ces mystères et tous ces caractères impossibles.
Ça commence en 1531 au Mexique. Un Indien aztèque a une apparition d’une belle dame lumineuse qui lui parle dans sa langue aztèque en lui disant « Va voir l’évêque de Mexico et demande-lui qu’il construise une chapelle pour la Vierge. Je suis la Vierge Marie, qu’il me construise une chapelle sur la colline de Tepeyac. »
Alors l’indien dit, on est en pleine colonisation évidemment du Mexique par les Espagnols, lui dit « Mais moi je ne suis rien. Je suis l’indien de la dernière caste. On ne m’écoutera jamais. Demandez à quelqu’un d’autre. »
Et puis elle revient. Il y a une sorte de harcèlement céleste. Cette belle dame lumineuse vient plusieurs fois et lui dit « Va voir l’évêque et donne-lui ces roses. » On est au mois de décembre et là il y a un buisson de roses magnifique. Elle lui dit « Porte-lui ces roses. »
Il finit par mettre les roses dans sa tunique et il va à la résidence de l’évêque. Et là on finit par lui ouvrir parce que ces roses, c’étaient les roses préférées de l’évêque dans son jardin à Madrid. Qu’est-ce que c’est ? Comment cet Indien les a-t-il ? Et l’évêque est en audience avec plusieurs personnes. Il reçoit cet indien qui dépose les roses à ses pieds et là l’évêque devant tout le monde tombe à genou parce que sur sa tunique à la place des roses s’est imprimé une image de la Vierge Marie.
Alors ça pourrait être une jolie légende d’Épinal si cette tunique n’était pas encore là aujourd’hui. Tout le monde peut la voir à la basilique de la Guadalupe. Elle ne devrait pas exister parce que c’était une tunique en fibre d’agave qui n’a jamais résisté plus de 20 ans. Elle est dans un état de conservation absolu. Et cette image c’est une peinture entre guillemets recto-verso sans après sur un tissu lâche. Et vous la regardez ça a l’air d’un merveilleux tableau. Donc déjà c’est impossible.
En 1937, le prix Nobel Richard Kuhn analyse les pigments et constate que ce sont des pigments inconnus sur Terre. ils ne sont pas d’origine végétale ni animale.
Et la position des étoiles qui ont l’air décoratives sur le manteau, les astronautes ont découvert que c’était la position exacte des constellations dans le ciel au-dessus de Mexico au jour et à l’heure de l’apparition en public.
Et dans les yeux le tout petit regard qu’on voit ici dans entre les paupières, les ophtalmologistes du monde entier ont étudié ce regard et y ont découvert selon la loi optique de Purkinje-Samson les témoins de l’apparition reflétés trois fois qu’on a comparé avec les les portraits notamment le portrait de l’évêque de l’époque.
On est sur un dossier scientifique devant cet objet impossible, hallucinant comme si cette apparition de l’objet qui n’a jamais été escamoté à la différence du linceul de Turin, autre objet impossible, mais qui a disparu, qui a été abîmé, qu’on a retrouvé, volé, qui a été contesté. Là ça n’a jamais disparu.
Il a été exposé à la chaleur de cierges sans protection pendant plus de 100 ans sans même une vitre. Toutes les couleurs auraient dû disparaître. Non c’est toujours là comme si c’était destiné aux scientifiques des siècles futurs.
Et la dernière découverte qu’on a faite en 2020 c’est un mathématicien qui l’a faite. Partant de l’idée que toute l’image étant la proportion du nombre d’or, Pythagore a démontré que quand il y a ces proportions de nombre d’or il y a de la musique.
Ça fait partie donc à ce moment-là un modèle mathématique a permis à partir des étoiles dont on parlait tout à l’heure et des symboles aztèques car l’image elle est bilingue aussi. Elle dit la même chose aux Espagnols qu’aux Indiens car c’est à la fois la Vierge Marie telle qu’elle est considérée par les chrétiens espagnols et c’est aussi la déesse Tonantzin, la déesse mère des aztèques. Et on est devant, c’est une chose unique dans l’histoire, une apparition bilingue qui parle et qui empêche certainement un génocide à l’époque. Et donc ce modèle mathématique Fernando Ojeda eh bien il va découvrir que c’est comme des notes de musique. Il va créer, enfin il va créer, il va du moins mettre en son et mettre au jour cette musique qui dit-on, et beaucoup de thérapeutes l’utilisent, fait des merveilles sur différents points de vue du corps humain.
On vous Didier de cet échange, de nous avoir permis de plonger dans ces grands ces grands miracles.
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