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COMMENT TRANSFORMER SES COLLABORATEURS EN AMBASSADEURS MOTIVÉS ?

Publié le 14 mai 2025par Noémie Boullot

Comment transformer les collaborateurs en ambassadeurs motivés ?

Dans cet article, j’aimerais vous parler des neurosciences qui offrent trois leviers pour comprendre ce qu’un collaborateur attend pour favoriser de la motivation.

On entend souvent parler de marque employeur avec un peu de communication, du marketing, à l’extérieur, à l’intérieur. Pourtant, bien souvent les approches qui fonctionnent sont des approches plus sincères, plus émotionnelles. Ce sont des approches qui sont plus au cœur des attentes des collaborateurs et moins réfléchir à des artifices.

Avant de nous plonger dans ce que disent les neurosciences, vous pouvez télécharger notre audio qui favorise la cohérence cœur-cerveau. C’est vrai que quand les collaborateurs, les chefs d’entreprise respirent mieux, respirent plus en connexion entre le cœur et le cerveau, les hémisphères cérébrales se resynchronisent. Le cœur resynchronise le cerveau et tout se passe bien mieux.

D’où vient la motivation ?

Les neurosciences nous montrent que la motivation n’est pas une question de volonté, mais une question de chimie, de réaction chimique. Vous allez comprendre pourquoi.

Donc trois neurotransmetteurs justement jouent un rôle dans la chimie cérébrale et sont source d’engagement, d’investissement, d’envie. C’est bien cela qu’on doit favoriser chez le collaborateur.

1^er neurotransmetteur : la dopamine

La dopamine elle est la source quelque part de la réussite et de la satisfaction. Donc un collaborateur qui n’est pas en réussite ou qui n’est pas en satisfaction va être désengagé. Donc cette satisfaction notamment va se retrouver dans le plaisir. On pourrait donc se poser la question « Comment favoriser la réussite de mes collaborateurs ? »

La réussite dans le sens y prendre du plaisir c’est-à-dire avoir la satisfaction d’avoir réussi quelque chose. Une des solutions par exemple c’est de définir des micro-objectifs que je vais réussir parce que si je définis des objectifs trop grands, il y a de grandes chances que je ne puisse pas les mener à bout.

Alors qu’en méthode agile ou en méthode OKR, qu’on pratique en entreprise avec Marylise, on est toujours en train de découper un problème complexe en sous problèmes simples parce que c’est cette réussite-là qui va générer de la dopamine et donc de l’engagement et donc de la motivation.

2ème neurotransmetteur : l’ocytocine

L’ocytocine c’est le sentiment d’être libéré, d’être en sécurité, d’appartenir à un groupe, à un clan. Ce neurotransmetteur-là est très important parce que si je ne me sens pas en sécurité je peux essayer de faire tous les artifices que je veux sur la marque employeur, sur des actions, etc. Je ne vais pas régler le sujet de l’engagement et de la motivation.

Comment rendre le collaborateur engagé ? En lui donnant un cadre qui le sécurise. Alors je peux vous donner quelques exemples.

Par exemple en créant une culture d’appartenance. Comment ne pas l’exclure et le ramener dans cette culture d’entreprise ? Ça peut être lié à des rites. Ça peut être lié aussi à des feedbacks constructifs que je veux faire à la personne. Ça peut être laisser le droit à l’erreur. Ça peut être travailler sur des projets en intelligence collective. Si je favorise le fait que le risque soit partagé en intelligence collective, c’est-à-dire que je ne prends pas le danger moi-même mais on travaille ensemble pour diminuer ce danger là et surtout, on va imaginer de meilleures solutions pour être fier de le porter en équipe. J’enlève alors les silos parce qu’un raisonnement individuel crée un silo, un raisonnement collectif crée un clan et une appartenance eh bien là je serai bon pour favoriser l’ocytocine.

3^ème transmetteur : la sérotonine

Cela correspond à la reconnaissance dans son travail. Ça c’est très important parce que nous avons tous besoin de cela. Si je ne suis pas assez reconnu, il y a moins de chance que je sois engagé. Si à chaque fois que je fais mon travail on me dit c’est normal, quelque part oui c’est normal, bien sûr je reçois un salaire, mais si je ne reste que dans un monde cartésien c’est-à-dire sans émotion, sans aventure, à un moment donné je vais être dans la lassitude et mon engagement va décroître.

Donc le collaborateur a besoin de se sentir valorisé. Comment le valoriser ? En lui donnant un rôle spécifique, un rôle d’expert. Par exemple, Marylise et moi quand on quand on introduit la gouvernance projet dans les entreprises, il y a forcément un chef de projet. Il y a un animateur aussi. Donc il y a des rôles particuliers et puis il y a des rôles d’experts et chacun est valorisé dans son rôle.

Cela passe aussi par du feedback positif aux équipes en disant « Bah voilà là c’était super », « Là tu as bien agi. », « là tu as bien joué. » Tout ceci va aider le collaborateur à se sentir à la bonne place. Bien sûr qu’on a le droit de dire ce qui ne va pas aussi, mais dans la manière de le dire on parle de feedback destructif ou de feedback constructif. Je peux aider la personne à grandir, mais le tourner de la belle façon parce que si je cherche à la détruire, vous avez bien compris que je ne suis pas du tout à la bonne place.

Le rôle du management

On comprend vite l’impact du management organisations, mais aussi l’impact des rites, des rythmes, du clanique, de la culture, des valeurs. Tout ceci est fondateur.

Les valeurs ce n’est pas juste afficher trois valeurs sur un kakémono en entreprise. Non ! Les valeurs doivent se vivre.

Comment ont-elles été déterminées ?
Est-ce que j’ai impliqué les collaborateurs pour les déterminer ?
Est-ce qu’elles sont vécues sur le terrain et comment je pourrais plus les faire vivre ?

On pourrait quasiment comparer deux entreprises qui ont tout fait bien entre guillemets sur le papier, mais une qui ne fait pas vivre les éléments, qui a juste fait les powerpoints, les kakémonos, etc. Cette entreprise ne comprend pas pourquoi ça ne marche pas. Et puis une autre qui a fait ça mais en même temps qui alimente et qui s’assure que c’est vécu sur le terrain. Les deux entreprises pourraient avoir des résultats complètement différents notamment sur le turnover, sur le chiffre d’affaires ou sur la fidélisation. Vous voyez bien qu’il ne s’agit pas de faire les choses pour faire les choses. Il s’agit de mettre du sens, de mettre du cœur et de comprendre comment notre cerveau et notre cœur fonctionnent.

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8 lois du subconscient qui vous limitent

Publié le 19 décembre 2023par Marylise & Sébastien

Ces 8 lois du subconscient que nous vous partageons dans cet article limitent sûrement votre vie à votre insu. Nous vous donnons donc également quelques conseils pour vous aider à changer cela pour une vie plus épanouie.

1ère loi

Pour commencer je voulais parler de la loi de l’attention. C’est une loi selon laquelle notre subconscient va accorder une place à des pensées négatives ou à des pensées positives en fonction de l’attention que nous-même allons accorder à ces éléments c’est-à-dire que tout ce sur quoi je porte mon attention va s’amplifier. Cette loi de l’attention est donc un encouragement à être conscient, le plus souvent possible, de ce sur quoi on porte notre attention.

2ème loi

La seconde loi de notre subconscient est la loi de l’autosuggestion. Sans nous en rendre compte toute la journée nous nous suggérons un certain nombre d’éléments. Sûrement des pensées négatives, des pensées limitantes telles que « je ne suis pas si », « il est comme ça », « le monde est comme ça », « mes croyances sont ça ». En d’autres termes, on s’auto-suggère et on s’auto-croit. A l’inverse si on arrive à repérer toutes ces autosuggestions, nous pouvons les inverser et les transformer en autosuggestions positives comme des mantras à l’intérieur. Je peux me les réciter à l’oral mais je peux aussi me les réciter de manière intérieure. Et si je prends le contrôle sur la suggestion d’autosuggestions alors je peux changer mon destin, ma destinée, ma vie, mes pensées, mes actes, mes ressentis.

3ème loi

La troisième loi de notre subconscient est la loi de la répétition c’est-à-dire que la répétition d’actions, de pensées, de comportements, va ancrer des éléments dans notre subconscient. Donc plus nous répétons plus nous transformons notre subconscient. C’est donc une véritable invitation à savoir et à s’interroger sur ce que nous répétons de façon consciente pour que l’inconscient puisse graver tout ce qui est le plus positif pour nous.

4ème loi

La quatrième loi c’est la loi de l’émotion. Cette loi est marquante parce que tout ce qui est imbibé d’une forte émotion que ce soit de joie, de haine, ou de peine va se marquer profondément dans notre inconscient. Donc si je ne fais pas attention à ces émotions fortes, surtout négatives, et que je les laisse s’imprégner dans mon inconscient sans rien faire alors je risque d’avoir des croyances et des schémas limitants. On parle parfois de traumatisme. Le traumatisme c’est une émotion fortement négative donc la question qui se pose c’est comment je pourrais enlever les émotions négatives et favoriser les émotions très positives dans ma vie pour imprimer le subconscient avec ce que je choisis d’imprimer.

5ème loi

La cinquième loi c’est ce qu’on appelle la loi de l’imagerie mentale c’est-à-dire qu’en fonction de ce que je vais visualiser, je vais imprimer des éléments soit d’une nature positive soit d’une nature négative dans mon subconscient. Si je prends un exemple tel que visualiser un succès et on pourrait même dire au-delà de la visualisation le ressentir, cela permet d’amplifier par exemple la confiance en soi. Soyez aux manettes de ce que vous visualisez, de ce que vous ressentez pour le futur parce que votre inconscient va encapsuler des éléments qui vont vous être favorables ou des éléments qui vont vous être défavorables.

6ème loi

La sixième loi est la loi de l’attraction. Si je veux attirer à moi une vie différente, des choses différentes, des événements différents, des personnes différentes alors je dois vibrer en moi des éléments différents. La loi de l’attraction c’est à la fois porter son intention et à la fois vibrer et visualiser. C’est tout cela en même temps. Comment attirer quelque chose à soi ? Eh bien si j’arrive à me mettre sur la même fréquence. Et je me mets sur la même fréquence si je vibre, je visualise et je focalise sur cette fréquence-là.

7ème loi

La septième loi c’est la loi de l’habitude c’est-à-dire selon cette loi les habitudes vont s’ancrer dans notre subconscient et là encore vous vous aurez compris qu’il y a des habitudes qui vont être favorables et des habitudes qui vont être défavorables. Donc la proposition qu’on pourrait vous faire, c’est de vous poser la question des routines que vous souhaitez mettre en place. Ce n’est pas une question de temps ni d’intensité, mais plutôt une question de régularité. Quelles sont les routines que vous avez envie de mettre en place pour vous rapprocher de ce qui est favorable et positif pour vous au quotidien et c’est véritablement la récurrence qui petit à petit va pouvoir transformer votre subconscient.

8ème loi

La huitième est la loi de la croyance. Il se trouve que votre subconscient c’est 95 % de fonctionnement automatique donc pour ce fonctionnement automatique le subconscient a dû enregistrer un certain nombre de règles qui sont basées sur des croyances puisque nous avons tous des perceptions du monde de manière différente. veut bien dire qu’on nous a enseigné une perception du monde. La question c’est quelle croyance j’ai sur l’argent, sur le pouvoir, sur le monde, sur la Terre, sur les êtres humains, sur le management, sur l’entreprise, etc. Je suis forgé de croyances. Comment repérer ces croyances et qu’est ce qui peut être mis en place pour les changer. Qu’est-ce que j’ai envie surtout de changer et pourquoi ? Parce que souvent le pourquoi nous aide à changer.

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Comprendre les ondes cérébrales (neurosciences)

Publié le 18 septembre 2022par Marylise & Sébastien

Dans un environnement complexe et incertain, comprendre le fonctionnement de notre cerveau peut nous aider à reprendre la main. Je vous détaille ici les cinq fréquences cérébrales (exprimées en Hertz). Comprendre les ondes cérébrales vous permettra ainsi de savoir quelles sont celles qui vous mettent en état de stress et celles qui favoriseront votre bien-être pour favoriser une reprise en main de votre vie intérieure et extérieure.

Les ondes Delta

Le premier niveau d’ondes correspond aux ondes Delta c’est-à-dire les ondes qui correspondent soit à une réalité de sommeil profond soit à des configurations de méditation profonde. On est ici à un niveau de 4 Hertz ce qui est extrêmement faible. Dans certaines études menées par des scientifiques avec des moines tibétains, il a été observé que ces derniers au regard de la science pouvaient être considérés en réalité de mort clinique alors qu’il n’en était rien. Dans cette configuration, on se sent donc en état de quiétude et à ce niveau de fréquences on a perdu la notion de l’environnement et du temps.

Les ondes Thêta

Le deuxième palier correspond aux ondes Thêta appelées aussi les ondes de relaxation profonde. Ce sont des zones qui se situent entre 4 et 8 Hertz et elles nous mettent dans un état d’entre-deux c’est-à-dire dans un état de somnolence dans des moments très spécifiques au réveil où on n’est ni endormi ni réveillé ou également au moment de l’endormissement. On est véritablement dans cet entre-deux assez spécifique où on peut avoir accès à ses rêves.

Les ondes Alpha

Le troisième niveau correspond aux ondes Alpha. Cette fréquence se situe entre 8 Hertz, 8,5 Hertz et 12 Hertz et c’est une situation, une fréquence où on peut être considéré en relaxation légère et en situation de créativité. C’est notamment un moment spécifique où la connexion entre l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit fonctionne à plein régime. Lorsque les ondes Alpha circulent dans notre cerveau, on est dans une configuration de bien-être. On se sent aligné, productif en idées. Ces ondes, au-delà de la créativité, favorisent également l’apprentissage.

Les ondes Bêta

Le quatrième palier correspond aux ondes Bêta qui sont celles qui sont activées lorsque l’on est en éveil total. La fréquence pour les ondes Bêta est entre 12 et 30 Hertz. Dans cette configuration, on est concentré sur ce qui se passe à l’extérieur de nous. Ce sont les ondes du quotidien qui nous permettent d’agir, d’activer ce que nous avons à activer au fil de l’eau. Elles favorisent la concentration, mais à un niveau trop élevé, elles nous mettent en situation de stress. On tombe alors dans une configuration qui peut altérer notre corps, notre façon de travailler et notre capacité à être efficient.

Les ondes Gamma

Le dernier palier correspond aux ondes Gamma. On peut considérer qu’il s’agit des ondes de la gestion de l’information. Donc dans cette configuration, on est à un niveau d’ondes extrêmement élevé entre 30 et 40 Hertz. Certaines études ont réussi à prouver qu’on peut même aller jusqu’à 80 Hertz et là on est dans des logiques et des réalités de concentration extrême, de capacité à résoudre des problèmes complexes.

Conclusion : Soyez dans une réalité intérieure

Notre réalité quotidienne nous positionne dans une réalité, dans un niveau de fréquences d’ondes cérébrales plutôt élevé donc Alpha, Bêta et Gamma. Aussi une des invitations que je pourrais vous faire c’est de réussir à favoriser des états où on peut avoir accès à des réponses, à des intuitions en positionnant son cerveau à un autre niveau de fréquences. L’idée c’est donc de réussir à être beaucoup plus dans une réalité intérieure et de tenter de réduire la fréquence des ondes de notre cerveau en étant sur des fréquences Delta ou Thêta.
Plus vous allez réussir à vous orienter vers des fréquences basses grâce notamment à des activités de respiration, de relaxation et de méditation plus vous allez reprendre la main sur votre vie.

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